La réunion débute par la
détermination des coordinateurs par groupes / par espèces. En voici la
liste :
Chiroptères : Benjamin Même-Lafond, Pascal
Bellion et Loïc Bellion.
Mammifères semi aquatiques : Tiphaine Heugas
Mustélidés : Nicolas Rochard, Marc Bellion et Ludovic
Thomas (aide potentielle par Patrice Pailley)
Genette : André Robert et Jacques
Lemore
Loutre : Jean-Do Vrignault et
Tiphaine Heugas
Castor : Bruno Gaudemer et François
Grangeard
Micromammifères : Patrice Pailley
Le rôle des coordinateurs
sera :
-
d’organiser des sessions de
formations,
-
de re-motiver les troupes,
-
de vérifier les données concernant
leur groupe d’espèces.
Données et cartographie : en
pratique ?
·
Jean-Do
réactualisera les cartes par espèces tous les six mois
· Réflexion
sur la création d’une convention entre l’ONCFS et les Naturalistes Angevins
pour échanger les données de mammifères
· Tiphaine
se charge de prendre contact avec le FDGDON, la fédération de la chasse et l’association
des piégeurs afin de pouvoir éventuellement récupérer leurs données de
mammifères.
Communication ?
·
Tiphaine
et Pascal se chargent de contacter le Groupe Mammalogique Breton afin de savoir
s’il nous est possible d’utiliser leur document de communication (carnet
d’identication…)
·
Les
documents produits par les Naturalistes Angevins seront diffusés sur le site
internet de l’association (coordinateurs par groupe, clé d’identification, doc
d’informations…) si cela est possible
·
La
liste de discussion des Naturalistes Angevins sera utilisée pour diffuser
toutes les informations de l’atlas
·
Création
d’un groupe de travail « communication »
Les
protocoles ?
·
Les mustélidés :
-
Apprendre
à déterminer les indices de présence,
-
Utilisation
de pièges photographiques,
-
Contact
avec les piègeurs,
-
Mortalité
routière (bien communiquer sur l’apport de photo pour identifier les espèces).
Pour ce
groupe les coordinateurs devront se retrouver pour poser le cadre des indices
de présence validés ou non (empreintes, fèces…)
·
Genette :
-
Se
concentrer sur les milieux et les crottiers,
-
Vérification
des données historiques. Si pas de présence de crottiers sur les anciens sites
de présence, pose d’un piège photo pour constater ou non le passage de la Genette.
·
Blaireau :
Ici il conviendra d’aller au-delà de la simple
présence / absence de l’espèce.
Lorsqu’une
blaireautière sera trouvée, il faudra comptabiliser le nombre de gueules actives.
Par ailleurs, dans un premier temps, nous prendrons les données anciennes de
blaireautières pour vérifier si oui ou non elles sont toujours existantes.
A voir avec le Groupe Mammalogique
Breton pour mettre en place leur protocole « Blaireau » en Maine-et-Loire.
·
Mammifères semi-aquatiques :
Le protocole
sera le même que celui du groupe mammalogique breton (à savoir parcourir 600 m de berge et noter tout
ce que l’on voit). Toutefois pour notre territoire il conviendra de faire un passage tous les six mois
sur un même cours d’eau, afin de repérer les fronts de recolonisation de la Loutre.
·
Castor :
Le protocole
sera le même que celui de l’ONCFS (Cf. PJ). Il conviendra ici de noter le
nombre de familles afin de valider de manière certaine la présence de l’animal.
·
Campagnol amphibie :
Le protocole
sera la même que celui de la
SFEPM.
·
Crossope aquatique :
Voir avec le
GMB ou le GMN si l’utilisation de piège à crottes est efficace.
ATTENTION : Le suivi du protocole "Castor" n'empêche pas de relever la présence du Campagnol amphibie ou de la Crossope aquatique dans la cadre du protocole mammifère semi-aquatique.
· Chiroptères :
Tout comme le blaireau, il convient
ici d’aller plus loin que le simple « présence /
absence ». Pour ce taxon les
éléments suivants seront analysés :
-
la
répartition des espèces,
-
un
code de reproduction : repro certaines, possible, probable
(Attention : il faudra bien communiquer sur ce point afin que tous les
observateurs mettent un code de reproduction),
- une carte des habitats favorables pour les Noctules à établir et à
transférer aux chiroptérologues du département en n'oubliant pas les anciennes colonies
connues de ces espèces, arbres favorables à prospecter (vieux platanes, chênes), et les prospections négatives. Pour les espèces de Noctules, leur détectabilité
est d'autant aisée que leurs cris
sociaux sont audibles sans détecteur.
-
l’acoustique,
par l’utilisation d’enregistreurs passifs principalement qui permettent de
récolter un grand nombre de données.
-
réaliser
un protocole spécifique aux villages pour orienter les recherches de colonies
au crépuscule ou à l’aube ? (commentaire perso Pascal)
·
Les Gliridés :
-
Ramassage
de noisettes et merises pour trouver le Muscardin. Envoie au GMB pour
vérification,
-
Quand
il n’y a pas de noisetier, pose de nichoir à Muscardin,
-
Recherche
de nid,
-
Voir
auprès des dératiseurs.
·
Les Micromammifères :
-
recherche
et analyse de pelotes de réjections,
-
Formation
à réaliser,
-
Voir
avec le GMB si l’appel auprès des particuliers pour la récolte des pelotes est
facile.
Identification Rat noir : compter le nombre d’anneaux sur la queue.
Prochaines réunions :
-
Groupe
communication
Réunion
entre les coordinateurs des groupes pour mettre en place les protocoles.